La campagne stop-répression soutient la plainte d’Arno et à travers son cas, veut mettre en lumière cette réalité vécue par les habitants des quartiers bruxellois, les manifestants ou encore les militants syndicaux. Face à l’impunité dont bénéficient ses agresseurs et les témoignages auquel il est confronté comme militant de la campagne, Arno a décidé d‘interpeler la ministre Milquet sur la violence policière et l’impunité des policiers.
Peu nombreux sont ceux qui portent plainte. De plus, les plaintes déposées se retournent souvent contre la victime comme dans le cas d’Arno. La violence n’est pas seulement l’apanage de quelques policiers véreux. Elle est soutenue par une politique d’impunité et de pressions internes mises en évidence par l’affaire des abus de la zone midi.
Nous appelons toutes et tous à dénoncer cette situation en signant cette lettre (lien) et en participant à la manifestation contre les violences policières du 15 mars. C’est en construisant un rapport de force collectif que nous nous obtiendront la vérité et la justice pour toutes les victimes.
Stop à l’impunité, Stop répression!
Rendez-vous le 15 mars contre les violences policières.
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